Monsieur le président Chassaigne, il me faut vous rappeler – c'est mon côté républicain, gaulliste au fond – qu'il n'y a pas de souveraineté des communes. La seule souveraineté dans notre beau pays est nationale ; elle n'appartient qu'au peuple qui l'exerce par ses représentants – vous – , et par voie de référendum.