Formidable ; vous me direz où, et je vous suivrai sur-le-champ.
Je ne suis pas certaine, monsieur Peu, que la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) soit le parent pauvre de ce budget. En réalité, des crédits lui sont octroyés pour remettre à niveau les établissements qui en ont besoin et quarante emplois d'éducateurs sont créés. Certes, nous devrons progresser et j'en suis tout à fait consciente mais, encore une fois, la PJJ n'est pas le parent pauvre.
Vous avez également évoqué les juridictions : la réponse que j'ai faite à Mme Untermaier vaut, je crois, pour votre observation. Enfin, je me rendrai demain au tribunal de Bobigny, et je pourrai donc vous répondre sur ce point.