Merci, monsieur Bernalicis. Je ne mettrai pas fin à ceux qui sont en cours mais je vais demander à mon administration de faire un point précis sur ces contrats. S'agissant des services pénitentiaires d'insertion et de probation, la baisse apparente de leurs crédits s'explique par l'ouverture, en 2017, de crédits au titre du plan de lutte antiterroriste. L'essentiel est « soclé », me dit-on. Enfin, tout va bien, monsieur Bernalicis, je vous rassure.