Par conséquent, les maires, qui sont habituellement informés en cas de vente d'un local commercial – ce qui leur permet d'user de leur droit de préemption – ne le sont pas dans le cas d'un changement d'usage qui permet de se faire du blé en dormant… Nous le voterons, mais c'est un amendement naïf qui ne se donne par les moyens de protéger l'économie réelle et les hôteliers.