Vous l'avez évoqué s'agissant du dialogue social, une question qui concerne le droit de retrait qu'ont exercé certains enseignants. L'a-t-on mesuré ? Quelles suites ont été données à l'exercice de ce droit de retrait ?
Vous parlez du suivi des élèves, et notamment du suivi psychologique. On nous a fait état, et c'est sans doute une réalité, que suite à ces évènements, il y a aussi le nombre de salariés qui travaillent pour Lubrizol ou pour Normandie Logistique qui ont été choqués. Certains ont fait remonter auprès des élus, auprès d'un certain nombre de personnes, le fait que parfois leurs enfants étaient stigmatisés dans les cours d'école. Est-ce que ces choses-là vous ont été remontées ou pas ? Y a-t-il un point de vigilance sur ces aspects-là ? Parfois, dans une cour d'école, il y a une violence verbale qui peut exister.
Ensuite, vous avez évoqué l'exercice PPMS ou l'exercice d'alerte. Pourriez-vous décrire le PPMS et surtout dire en quoi ce sera un PPMS « après Lubrizol », c'est-à-dire en tirant déjà un certain nombre d'enseignements et en insistant sans doute sur une façon d'être, un comportement, une attitude ?