Je pense à la DREAL, à la DGAL ou à la direction générale de la prévention des risques (DGPR), du côté ministère de l'environnement, parce que cela va dépendre complètement du cas de crise.
C'est vrai que, par exemple, sur la peste porcine africaine, il n'y a pas ce sujet, parce que la DGAL coordonne l'ensemble des laboratoires et collecte l'ensemble des résultats.
Tandis que dans le cas « Lubrizol », cela touchait un spectre très étendu de polluants, de laboratoires différents et de services différents. Cette centralisation des résultats d'analyses ne s'est pas faite de la même façon. Je pense que c'est aussi à mettre en relation avec la réflexion qui est en cours aujourd'hui sur l'organisation de la sécurité sanitaire au sein des différents services de l'État. Je pense qu'il doit y avoir, en lien avec la réflexion actuelle, une solution à trouver pour gérer la crise.