J'étais allé en Italie avant les élections et pendant la crise migratoire ; on sentait venir le populisme. Aujourd'hui la situation semble stabilisée, mais il est vrai que le président de la commission des affaires européennes de la Chambre des députés italienne est très critique, sur son blog, quant à notre rapprochement avec l'Allemagne dans le cadre du traité d'Aix-la-Chapelle. Il ne faut pas oublier nos partenaires, dont l'Italie fait partie.
Il ne faut pas abandonner ce pays qui est en première ligne sur la crise migratoire. Je crois que la France et l'Union européenne font leur part. Puisque nous sommes dans le domaine des symboles, il me semble que ce déplacement a été utile pour rappeler l'attachement des Français aux relations avec l'Italie.