Leur attitude était effectivement très positive, en dehors de Fratelli d'Italia, chez qui nous sentions beaucoup d'hostilité à l'égard de la France. Ils ont évoqué en particulier les sanctions américaines, pour souligner que l'Italie payait le rapprochement franco-allemand, dans la mesure où la contre-attaque américaine ferait suite aux subventions accordées à Airbus. Nous avons expliqué que nos viticulteurs aussi faisaient les frais de ces sanctions.