Les coupables, le plus souvent, sont retrouvés et mis à disposition de la justice afin d'être sanctionnés pour leurs actes, mais aussi pour la faute que constitue leur agression contre le commun. Le commun est ce qui nous rassemble tous, permettant que l'église du village appartienne à l'âme de chacun, que l'on soit catholique ou non.
C'est la raison pour laquelle nous avons demandé au préfet d'organiser des surveillances particulières, non seulement des édifices religieux – elles y sont permanentes – , mais aussi des rassemblements religieux, afin que celles et ceux qui font le choix de croire soient protégés.