C'est précisément l'une des raisons pour lesquelles j'avais combattu la proposition de loi relative à la protection du secret des affaires, texte souvent invoqué pour éviter d'avoir à transmettre des données. On aurait pu imaginer qu'au moins ces données-là puissent être transmises à la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale, afin que nous puissions les utiliser pour prendre des décisions éclairées, par exemple en ce qui concerne le projet de loi de financement de la sécurité sociale.