J'ajoute que le remboursement intégral des moyens de contraception ne se substitue évidemment pas à des mesures d'éducation sexuelle. Au contraire, lorsque ces jeunes filles viendront demander une contraception, il sera possible, vu leur âge, de leur proposer de les informer, de les éduquer. Il s'agit de les prendre en charge et non de les isoler davantage. L'avis est donc défavorable.