Il est en effet important – c'est le projet de l'école inclusive – d'accepter les enfants affectés de troubles « dys ». Qu'ils soient dyslexiques ou souffrent de troubles visuo-spaciaux, ils demandent une attention particulière. Dans le cadre de l'expérimentation, précisément parce que le personnel des lycées est intégré au dispositif, nous avons pu, avec l'appui d'associations locales comme Dys'Aisne et les auto-écoles, accompagner au mieux ces élèves. Cela illustre le volet « accompagnement personnalisé » du dispositif que j'évoquais tout à l'heure.