L'interprofession a tenté de m'expliquer que, s'agissant des diploïdes, qui sont en effet des huîtres naturelles, il est compliqué d'indiquer ce qui se fait naturellement… Ses représentants m'ont semblé sincères. Mais, puisque les paroles s'envolent, les écrits restent, nous leur avons demandé de nous assurer par écrit que l'interprofession s'était bien saisie de cette problématique. Elle l'a fait, du reste, je le précise, à la suite de la loi EGALIM.