Même si un petit coup de pied là où il faut pourrait faire bouger les choses, je ne voterai pas cet amendement car il n'a pas fait l'objet d'une étude d'impact. En outre, nous devons encore travailler avec les interprofessions, les industriels et les représentants des différents corps.
Mais j'espère que notre message atteindra Bercy et le ministère de l'agriculture afin que les négociations qui interviendront en 2020 permettent de réviser en profondeur la réglementation relative à ces appellations, labels et certifications qui, en l'état actuel du droit, n'est à l'évidence pas très claire.