La note de Michel Amiel m'a particulièrement intéressée, pour plusieurs raisons. Le sujet de l'autisme notamment m'a rappelé mon internat en neurologie. Plus directement en rapport avec le sujet de cette première note, les prisons près de chez moi sont remplies de jeunes qui n'ont pas le même niveau de développement intellectuel et psychosocial. S'agissant du cannabis, il faut bien avoir à l'esprit que la morphine est un antidouleur puissant, mais qui présente des effets secondaires graves, notamment sur la respiration ou sur l'état de conscience : si le cannabis permet de les éviter, ce serait une avancée.