– Nous avons constaté que l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) ne s'était jamais saisi du sujet de la pollution plastique. Le rapport de notre collègue Roland Courteau sur la pollution de la Méditerranée n'évoquait que très rapidement ce type de pollution. De même, le rapport de notre ancien collègue Gilbert Barbier sur les perturbateurs endocriniens mentionnait le fait que certains perturbateurs endocriniens se trouvaient dans des plastiques, mais ne s'intéressait pas au rôle spécifique des plastiques dans l'exposition de l'homme aux perturbateurs endocriniens. Nous ne pouvons donc que nous féliciter de la saisine de l'OPECST sur ce sujet par la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat.