Monsieur le rapporteur général, je crois que vous n'avez pas bien compris l'objet de cet amendement ! Il ne s'agit pas d'affaiblir les sanctions auxquelles s'exposent les assistantes maternelles qui n'inscrivent pas leurs disponibilités sur la plateforme en ligne, mais de transformer cette obligation en possibilité.
Vous êtes, comme moi, sur le terrain ; vous voyez bien que, dans la plupart des communes, des relais permettent de faire connaître les disponibilités, et que les familles ont accès aux informations. Pourquoi imposer une obligation alors que tout se fait à l'amiable ? Restons-en à une possibilité et tout se passera bien.