Monsieur le député, vous avez raison de pointer du doigt les conséquences dramatiques du réchauffement climatique, que des Français en nombre toujours trop élevé vivent aujourd'hui dans leur chair, au quotidien. Néanmoins nous ne partageons pas votre point de vue, selon lequel la transition écologique devrait être vécue comme une fatalité : c'est l'inverse ! Comme le dit le Premier ministre, nous pouvons avoir recours à une écologie souriante ; sourire et regarder les difficultés en face, c'est synonyme d'action. Nous ne voulons pas nous enfermer dans le désespoir ; la transition écologique est l'occasion de recréer un projet de société, capable d'entraîner l'ensemble des citoyens sans exception.