Il faut que tous ces professionnels échangent et se coordonnent, et que du temps médical soit dégagé pour nos concitoyens.
Nous devons être honnêtes : il n'existe pas une solution unique pour lutter contre les déserts médicaux ou améliorer la situation de l'hôpital public. Seule une série de mesures prises ensemble permettra d'améliorer au quotidien les conditions de travail des personnels de santé, qui sont débordés – je les soutiens évidemment dans leur engagement.
Nous devons leur faciliter la tâche en aménageant les organisations, quelles qu'elles soient, que ce soit à l'initiative des collectivités territoriales, de l'État, ou des secteurs privés, qu'ils soient salariés ou libéraux : tout le monde est nécessaire dans la lutte contre la désertification médicale.