Ensuite, nous soutenons très activement, sur le plan diplomatique, les démarches qui permettent désormais d'envisager l'organisation d'élections libres, transparentes et inclusives – ce qui répond à votre première question. Avec notre compatriote Jean Arnault, représentant spécial de l'ONU dans le pays, et avec la délégation de l'Union européenne en Bolivie, nous avons mené un travail de médiation qui a permis le dialogue. Le Congrès bolivien a ainsi adopté à l'unanimité la loi annulant le scrutin du 20 octobre et, surtout, annoncé qu'il convoquerait de nouvelles élections présidentielle et législatives avant la mi-avril 2020.