C'est la réalité, chers collègues !
En l'occurrence, nous corrigeons les erreurs de la loi EGALIM, et cela vous vexe – et c'est tant mieux, car il y a beaucoup de choses que vous corrigez ce soir au sujet desquelles nous vous avions pourtant alertés lors de l'examen du projet de loi. Nous déposons des amendements, nous faisons des propositions, mais parce que cela vient de l'opposition, vous décrétez que ces propositions ne sont pas bonnes. Eh bien, je suis contente de vous voir vexés !