Vous conviendrez toutefois qu'entre le budget du ministère de l'agriculture, des chambres d'agriculture et de toute la politique agricole de l'État et cinq, non pas misérables, mais cinq articles seulement visant à améliorer l'information du consommateur sur la qualité des produits, le choix du Gouvernement est compréhensible : je pense que cela valait la présence parmi nous – par ailleurs exceptionnelle et appréciée de tous – du ministre chargé des relations avec le Parlement.