L'animal une fois découpé est envoyé à divers clients. Certaines pièces vont à la consommation halal, d'autres se retrouvent dans le commerce ordinaire. C'est une réalité, il faut arrêter de la nier. Nous devons certes être extrêmement prudents, non seulement parce qu'il y a une clientèle en France, mais aussi eu égard à la vocation exportatrice de notre agriculture. Mais être prudent, ce n'est pas nier la réalité comme vous le faites, monsieur Moreau.