Dès lors que le nom du pays figure déjà sur l'étiquette, imposer la présence d'un pictogramme n'apporterait rien de plus, mais soumettrait nos producteurs et nos conditionneurs à une surtransposition du droit européen, qui ne serait pas obligatoire pour leurs concurrents. Thierry Benoit évoquait tout à l'heure la balance commerciale : gardons cela en mémoire et n'imposons pas trop de normes, sans renoncer pour autant à délivrer une information complète aux consommateurs.
L'avis est donc défavorable sur les quatre amendements.