L'obligation de conventionnement a fait ses preuves et nous y sommes tous attachés, mais son extension aux commerçants non sédentaires interroge. La fin du marché n'est pas nécessairement synonyme de destruction des invendus : dans les faits, beaucoup de ces produits sont bradés, donnés, remis en vente sous d'autres conditions ou à d'autres occasions. Par ailleurs, cela pose un problème logistique. D'où mon amendement CD337.