Il porte sur les questions de cohérence et de conformité évoquées tout à l'heure. Au demeurant, je suis surpris qu'il n'ait pas été abordé en discussion commune avec les amendements débattus alors.
En matière de droit communautaire, la notion de cohérence ne signifie pas grand-chose. Je rejoins François-Michel Lambert, qui a rappelé que la conformité avec les dispositions adoptées à l'échelle de l'Union européenne nous a plusieurs fois été opposée, limitant notre marge d'action. Dans le cas présent, il me semble que l'on n'en fait guère de cas.