Le rapport que nous avons rendu la semaine dernière, et qui a d'ailleurs fait l'unanimité dans les rangs des commissions du développement durable et des affaires sociales, met justement l'accent sur la nécessité de pouvoir se prémunir contre les perturbateurs endocriniens, notamment par une meilleure communication. Il serait bon que la France fasse désormais entendre ce message, de façon très forte, auprès de l'Europe.