Pour avoir été enceinte plusieurs fois, je sais peut-être mieux que Michel Vialay de quoi il retourne – encore que les couples partagent par nature beaucoup de choses.
Un pictogramme « déconseillé aux femmes enceintes » ne coûterait rien et permettrait aux personnes qui font leurs courses, souvent très rapidement, d'être informées au premier coup d'oeil. L'open data, c'est très bien, et c'est à la mode, mais le pictogramme serait mieux encore.
D'ailleurs, lorsque je vous avais interrogée à ce sujet au cours d'une séance de questions orales sans débat – certes, c'était il y a deux ans déjà – , vous aviez semblé intéressée par cette idée, madame la secrétaire d'État, précisément parce que le pictogramme est très visuel et permet d'emblée à l'acheteur de savoir s'il peut consommer le produit. Je réitère donc ma demande.
Je m'adresse à vous tous, mes chers collègues : c'est une mesure transpartisane ; même si l'amendement est présenté par le groupe LR, faites preuve d'ouverture sur un sujet de cette nature !