J'irai dans le sens de M. Moreau sans toutefois le placer dans une situation délicate à présent qu'il a retiré son amendement. Il a tout à fait raison d'expliquer que la notion de cycle de vie n'est pas du tout adaptée au secteur de l'élevage. L'exemple pris par notre collègue Lambert l'illustre parfaitement, mais pas dans le sens de sa démonstration. En effet, les animaux qui croissent à une vitesse accélérée loin de nos terres peuvent être perçus, à tort, comme plus vertueux que les vaches de races Salers ou Aubrac…