Les réponses de la rapporteure et de la secrétaire d'État sont assez contradictoires. La secrétaire d'État dit la vérité : des articles sont vendus avec un indice de réparabilité quasi nul. Comme l'a rappelé le président Chassaigne, des gens achètent malgré tout, que vous le vouliez ou non, de tels produits en raison de leur faible coût. Cela contribue par la suite à une série de méfaits que nous dénonçons tous, si bien que nous souhaitons tous interdire les produits de mauvaise qualité qui finissent dans les poubelles et polluent.
J'espère que tout le monde a bien compris que la réponse de la rapporteure a été totalement démentie par la secrétaire d'État. Sur le fond, nous restons donc en désaccord avec le fait que l'on continue de fabriquer des objets au faible taux de réparabilité, objets qui trouvent un marché car ils sont peu chers, puisque de mauvaise qualité, et achetés par des Français au pouvoir d'achat fort faible. Nous maintenons donc notre amendement.