On pourrait très bien imaginer n'appliquer la mesure qu'à compter du futur étiquetage, après l'épuisement des stocks d'étiquettes disponibles : le nouvel étiquetage permettrait l'apposition du logo. Il n'est pas question, dans un texte relatif à l'économie circulaire, d'embêter les vignerons et de les contraindre à jeter des stocks d'étiquettes !
Je veux bien, si cela agrée la ministre, retirer l'amendement du groupe UDI, Agir et indépendants, mais je ne suis pas convaincu par les explications avancées.