Je souhaite interroger le ministre sur le programme 152 « Gendarmerie nationale ».
Lorsque l'on discute sur le terrain avec les hommes, on constate que des postes restent vacants pour des raisons de cadre de vie. Les communes et départements propriétaires de logements de gendarmes, en général, entretiennent bien leur parc immobilier. En revanche, les casernements dont l'État est propriétaire sont souvent vétustes.
Consultant l'état des locaux sur internet, les fonctionnaires de gendarmerie ne souhaitent pas les habiter, ce qui a pour conséquence la multiplication des postes non pourvus et la constitution de véritables déserts.
Aussi, alors que les crédits de fonctionnement baissent de 51 millions d'euros, comment comptez-vous répondre à cet enjeu immobilier ?