Intervention de Martine Leguille-Balloy

Séance en hémicycle du mardi 17 décembre 2019 à 21h30
Projet de loi de finances pour 2020 — Article 48 sexies

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMartine Leguille-Balloy :

Monsieur le président Woerth, quel dommage que vous n'ayez pas pu vous libérer pour participer aux travaux du groupe d'études cheval ! Quoi qu'il en soit, nous n'allons pas refaire le débat que nous avons eu en première lecture. Vous montrez une certaine pugnacité, si ce n'est un entêtement, à vouloir empêcher la modification proposée. Pourtant, si, en 2010, il était judicieux de donner plus à certains hippodromes, aujourd'hui, si l'on veut relancer l'intérêt pour les courses hippiques en France, cela ne pourra venir que des régions, des territoires. Il faut donc aider ceux-ci à conserver leurs hippodromes.

Je répète ce que j'ai déjà dit en première lecture : si, dans les grands hippodromes, se déroulent quelques grandes courses, en dehors de cela, il ne s'y passe plus grand-chose. De toute façon, les communes concernées n'ont pas de dépenses à consentir pour entretenir leurs hippodromes, puisque ceux-ci appartiennent aux sociétés mères.

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