qui doit bien s'entendre, sous peine que ce ne soit la guerre, une guerre de couloirs, comme c'est d'ailleurs souvent le cas en France. Cette guerre n'a pas eu lieu entre nous : chacun, avec sa particularité et son profil, a su faire vivre ce duo important entre majorité et opposition ; nous avons dépassé tout cela, Dieu merci. Il m'est certes arrivé de trouver, monsieur le rapporteur général, que vous appeliez un peu trop souvent à ne pas voter pour les amendements que je présentais, et j'espère que votre successeur, Laurent Saint-Martin, en qui je place beaucoup d'espoirs, donnera des avis plus positifs sur les excellents amendements que je dépose,