Vous n'avez pas évoqué les sites envisagés.
Par ailleurs, telles que les choses sont présentées, il n'y a pas de plan B. Vous venez de dire que la seule alternative serait la construction de centrales à gaz, ce dont il ne peut être question, par définition. Je comprends donc qu'un seul scénario est étudié, celui de la construction de six EPR, et le moment venu, l'État n'aura pas de choix : il se sera placé lui-même devant le fait accompli.
Vous venez de dire que quatorze réacteurs seront fermés pour atteindre la part de 50 % d'énergie nucléaire dans le mix énergétique, mais six réacteurs seront ajoutés entre-temps…