Ma question est donc simple : l'État envisage-t-il de reprendre la main, de renationaliser l'aéroport de Toulouse ? À tout le moins, vous engagez-vous à ne pas céder ce qui lui reste de participation ? À défaut, envisagez-vous au moins de renoncer au pacte d'actionnaires qui prive les acteurs publics, pourtant majoritaires, de la maîtrise de l'avenir de cette entreprise stratégique ?