À propos du « 1 % », ce n'est pas tellement une question de chiffres, c'est juste que notre majorité ne souhaite pas payer davantage à l'avenir que ce qu'elle paye actuellement. Nous avons une tradition parlementaire : si on veut dépenser plus sur un poste, il faut dépenser moins sur un autre. La Commission européenne a dit qu'elle souhaitait dépenser plus à certains endroits, mais sans préciser où elle comptait faire des économies. Avant le précédent Conseil européen j'avais l'impression qu'on était dans une « impasse », comme on dit en France, avec la crainte qu'il n'y ait aucun accord sur le prochain CFP.