Je partage nombre des propos qui ont été tenus, notamment par Mme de La Raudière et M. Larrivé. Je réitère mon opposition à ce texte car, même si vos intentions sont louables, il pose deux problèmes majeurs. D'une part, il soulève la question des contenus « gris », autrement dit de la sur-censure. D'autre part, il risque de conférer un pouvoir trop important aux plateformes actuelles, ce qui pourrait constituer une barrière à l'entrée de nouveaux arrivants.