Je vous remercie pour votre réponse, madame la secrétaire d'État. Il est en effet important que ce texte, qui n'est pas encore inscrit à l'ordre du jour de l'Assemblée, nous parvienne par la navette. Il convient en effet de légiférer sur ce problème qui, d'après ce que j'observe, n'est pas traité sur le terrain dans le cadre du travail de prévention des addictions. L'intervention du législateur est donc nécessaire.