Je comprends évidemment les préoccupations des députés Aurélien Pradié, Arnaud Viala et Maud Petit. Néanmoins, le législateur du 28 décembre a fait le choix de réserver la suspension automatique aux cas les plus graves, c'est-à-dire aux crimes, comme M. Pradié l'a rappelé.
Pour les raisons que nous avons évoquées tout à l'heure, je pense qu'il est sage d'en rester à cette situation particulière.