Il concerne toujours ma préoccupation première, à savoir que la parole de l'enfant soit entendue et recueillie dans des conditions adaptées, dès qu'il est capable de discernement.
Je ne le défendrai pas plus longtemps, puisque le contenu est le même que celui de mes précédents amendements. J'ai bien entendu les réponses qui m'ont été faites, mais de nombreux enfants ne sont aujourd'hui toujours pas entendus : la notion de discernement mériterait d'être précisée. Ce n'est pas l'objet de ce texte, mais il y a matière à réfléchir et à avancer sur ce sujet.
J'attends donc les avis de la rapporteure et de la ministre, et j'agirai en conséquence.