Médecin militaire, mécanicien aéronautique ou encore atomicien : ces hommes sont formés au meilleur niveau dans nos filières d'excellence française.
Les tensions du marché de l'emploi concernent aussi ces experts militaires qui sont aujourd'hui tentés de se diriger vers le secteur privé, souvent plus attractif en termes de rémunération. C'est un défi auquel plusieurs des meilleures armées du monde entier sont confrontées. Cette fuite des cerveaux doit être endiguée pour des raisons stratégiques et afin que le ministère puisse capitaliser sur ses hommes à long terme, donc assurer la pérennité des missions.
Pouvez-vous nous détailler la stratégie du ministère et les efforts consentis afin de conserver nos experts au sein de nos armées et faire face à cette concurrence du secteur privé ?