Je ne vois pas de contradiction entre une abrogation de cette interdiction de principe et le fait qu'une inaptitude puisse être prononcée au cas par cas.
Pouvez-vous néanmoins, madame la rapporteure, préciser les conditions dans lesquelles pourraient être prises les décisions ? Quels seraient les critères plus particulièrement dans le cas de personnes diabétiques ? Est-il possible d'envisager une activité avec un protocole particulier d'exercice des métiers concernés ?