Je peux comprendre tous les raisonnements, mais il s'agit ici de sept jours de congé pour 4 500 cas. Pourquoi la nation n'est-elle pas prête à dire aux personnes concernées : « Nous reconnaissons que vous êtes déstabilisé » ?
Le pire est d'entendre dire après coup que le résultat sera le même, car ces gens ne reprendront pas le travail immédiatement et recourront à un arrêt maladie. Ainsi, nous les inciterons à frauder pour stabiliser leur situation. Mieux vaudrait leur octroyer un droit.