Nous pourrions également prévoir, comme le propose Mme Mauborgne, le don de jours de congé. Pourquoi pas ? Je ne vois pas pourquoi l'un remplacerait l'autre ! En tout état de cause, rien de tout cela n'effacera la douleur.
Il faut prévoir un accompagnement. Celui proposé par la sécurité sociale est sans doute insuffisant pour effacer un tel meurtre d'âme. Certes, la proposition de M. le rapporteur présente des limites. Elle exclut les artisans et les commerçants.