Monsieur le Premier ministre, la passivité collective du Gouvernement nous interpelle. En n'intervenant pas dans cette situation où la gouvernance d'Engie est déstabilisée, l'État actionnaire envoie le signal qu'il cautionne cette opération et qu'il en est donc complice.
Ma question est simple : le Gouvernement souhaite-t-il se débarrasser de Mme Kocher, dont l'hostilité au démantèlement d'Engie est connue, pour pouvoir vendre à la découpe ce fleuron national ?