Je forme le voeu, madame la secrétaire d'État, que les marins-pêcheurs ne soient pas les prochains à perdre 25 % de leurs revenus à cause de votre manque de courage politique et du défaut de priorité accordée à la pêche dans l'accord futur ; parce qu'avec ses pêcheurs et ses agriculteurs, c'est toute une part de France qui disparaîtrait.