Je voudrais revenir sur l'ambiguïté dont souffre l'analyse de la cession de La Française des jeux. La presse explique que le 1,9 milliard de recettes contribue à l'amélioration du déficit, ce qui est le cas en comptabilité budgétaire, mais pas lorsqu'on parle de pourcentage du PIB et qu'on se réfère aux critères maastrichtiens. Il y a là un problème d'interprétation.