Vous avez raison, monsieur le président, même si la différence entre le déficit maastrichtien et le déficit au sens courant est toujours subtile à comprendre et à expliquer. Quoi qu'il en soit, si j'ai dit que la privatisation de La Française des jeux améliorait le solde, sur les 4,9 milliards, elle compte pour environ tiers, les deux tiers restants étant dus principalement aux recettes fiscales et aux économies de gestion réalisées par l'État.