Monsieur le ministre, vous avez été interrogé sur le coût des taux d'intérêt très bas. Nous savons que si, à l'inverse, la France devait emprunter au taux de son voisin italien, la charge de la dette, qui est d'environ 40 milliards aujourd'hui, se trouverait doublée. Dans les années qui viennent, comment anticipez-vous l'évolution des taux et comment comptez-vous nous en prémunir ?